L’information alimente les débats dans le Nabayah actuellement. Il s’agit d’un présumé cas de viol commis par un enseignant sur une lycéenne dun grand établissement public de la commune urbaine. Les faits se seraient produits le week end dernier au quartier Bordo. Selon les informations dévoilées par la Direction régionale de l’action sociale ,de la promotion féminine et de lenfance de Kankan il s’agit d’un enseignant évoluant au Lycée Marien N’Gouaby qui a commis ce présumé viol sur une jeune fille en classe de terminale.
Aux dires de Monsieur Keita c’est suite à l’alerte de l’antenne locale du Club des jeunes filles que sa structure a été informée. « C’est le club des jeunes filles leaders qui nous a informé qu’une fille serait victime de viol par un enseignant. Donc du coup comme chez nous, il y’a une structure qui est mise en place pour pouvoir répondre aux cas de viols, nous avons essayé de mettre les services compétents la dessus histoire de nous édifier sur le cas. Automatiquement, Pour permettre à ce service de travailler trois structures ont porté plainte dont le club des jeunes filles, l’ONG même droit pour tous et la coordination préfectorale de la protection de l’enfance . Du coté de l’action sociale, nous avons essayé de prendre contact avec les autorités de l’éducation pour savoir si elles étaient informées. Elles nous ont dit quelles n’étaient pas informées .Aussitot, on les a invités de faire tout possible pour que l’enseignant en question puisse vraiment répondre à la convocation. Ce qui fut fait Hier mercredi » a laissé entendre Le chargé des questions de l’enfance.
Aux Dernières nouvelles ; Monsieur Keita nous apprend que le présumé violeur est déféré à la maison centrale et ce jeudi 18 février il a été entendu. « Le dossier se trouve maintenant dans les mains du parquet. C’est à eux maintenant de confirmer effectivement s’il y’a eu cas de viol ou pas » a-t-il renchérit.
Dans la famille de la victime, les parents se réservent de tout commentaire. Mais la thèse de viol reste maintenue. On nous enseigne que la victime souffre d’hépatite B.
Mohamed slem Camara